Vous pouvez contribuer en cofinançant la création de La Petite Chaise via HelloAsso !
À ce jour, des liens ont été tissés avec plusieurs personnes et organismes dont plusieurs ont envoyé une lettre d’intérêt et de perspectives de diffusion de la pièce :
L’Institut Français pour la Justice Restaurative ; SPIP Limoges; l’ENAP, France-Victimes, AMAV84; David Corvée, avocat en médiation de Périgueux, Question de Justice en Ariège.
Noémie Micoulet, Responsable des antennes à l’Institut Français pour la Justice Restaurative
Croire en la justice restaurative, s’impliquer pour qu’elle soit accessible à toutes et tous, c’est aussi rêver que l’ensemble des modes de création et de récit sur ce sujet soient disponibles. La voie de « la petite chaise » est juste, essentielle et nécessaire. Je souhaite sincèrement et ardemment que cette œuvre de théâtre, autour d’une petite chaise, soit un espace où les voix / voies des personnes victimes et des personnes autrices, puissent résonner suffisamment fort pour être entendues et écoutées.
François Goetz, Directeur des Services Pénitentiaires, ancien coordinateur de la justice restaurative dans les Yvelines, un des premiers engagés dans la Justice Restaurative en France en milieu carcéral appuie fortement la pièce et nous a fait une lettre de soutien élogieuse.
Chère Anne,
A la seule lecture de la note d’intention de La Petite Chaise, je suis déjà pris par l’émotion ; celle de la tragédie de l’enfance maltraitée, celle de la souffrance infligée à vie à l’enfant devenu adulte, mais heureusement celle également possiblement de la sortie du tunnel, de la réparation accessible à la faveur d’une médiation auteurs/victimes. Car c’est la promesse de ce processus humain simple et époustouflant qui permet aux victimes d’obtenir des réponses directement auprès des auteurs dans le cadre de rencontres encadrées et sécures. Et à chaque fois, c’est l’allégement qui se produit, la sortie d’un carcan émotionnel, la libération, la reprise d’une vie interrompue. Cette réparation qui réanime les victimes produit également bien souvent un électrochoc empathique et émotionnel chez les auteurs dont nous savons aujourd’hui qu’avant d’être auteurs, ils ont très souvent été victimes. L’épilogue de ces rencontres conduit à la réparation, certes partielle de la victime mais provoque sa libération, tandis que l’auteur est reconnecté à son humanité, son empathie et sa responsabilité.
Une société évoluée devrait systématiser ce processus dont l’efficacité est désormais avérée tant s’agissant des victimes que des auteurs.
Total 48 000 € + cotisations sociales
Montant de la levée de fonds : 50% du budget total
L’association L’Arbre de l’enfance utilisera la totalité des sommes collectées pour financer la création de La Petite Chaise.